Fermer les commerces non essentiels pour obtenir un effet "choc" : les precisions de Vandenbroucke
BRUXELLES 30/11 - Le ministre de la Santé s’est attiré lundi les foudres de nombreux acteurs, notamment politiques, après ses propos sur la fermeture des commerces. Il fallait produire "un choc" dans la population, a-t-il souligné, avant de permettre une réouverture selon des modalités strictes. Dans l'opposition, la N-VA mais aussi le cdH et DéFI se sont insurgés: les centristes ont parlé de "cynisme" tandis que les amarantes déploraient une "infantilisation des citoyens". Dans la majorité, le MR a réclamé des explications. Réaction du cabinet de Frank Vandenbroucke.

Le président du sp.a maintient sa confiance en Frank Vandenbroucke
M. Rousseau était interrogé au sujet de la déclaration du ministre Vandenbroucke selon laquelle la fermeture des magasins non essentiels avait été destinée à créer un effet de choc, et des critiques qui ont suivi.
"Au moment où la deuxième vague a frappé fort et que les hôpitaux se plaignaient de la situation, nous avons dû intensifier la lutte contre le virus sur tous les fronts", a déclaré le président du spa.a. "Les deux seules exceptions autorisées ont porté sur l'autorisation des écoles à rester ouvertes et sur la sortie du domicile sans avoir besoin de certificat, comme en France...
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