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Le suivi psychologique moins accessible aux femmes et personnes pauvres (Mutualité chrétienne)

BRUXELLES 29/09 - Les femmes et les personnes vulnérables économiquement courent plus de risques de développer des problèmes psychologiques en raison de la pauvreté, des discriminations et de la charge mentale pesant sur leur bien-être.

Pourtant, ce sont justement ces personnes qui ont plus de difficultés à accéder aux soins psychologiques, ressort-il jeudi d'une étude de la Mutualité chrétienne (MC). Les freins sont pluriels, remarque cette dernière: difficulté à identifier les problèmes, mais aussi à chercher l'aide adéquate, prendre rendez-vous et payer ces services. Dans le cas d'une dépression, les personnes qui éprouvent des difficultés financières se tournent plus facilement vers une médication (73%, contre 62% parmi les plus aisés) que vers un suivi psychothérapeutique (39% contre 51%). Si certaines se sentent honteuses (17%), c'est surtout l'inquiétude quant aux coûts (évoquée par 59% des personnes vulnérables économiquement) qui s'impose comme un obstacle déterminant.

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