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Soins intensifs : "Nous avons des lits, mais pas les mains pour fournir les soins" (Vandenbroucke)

BRUXELLES 22/04 - La situation actuelle au sein des hôpitaux nous apprend que les infrastructures ou la logistique ne sont pas tant un obstacle. C'est une pénurie de main-d'œuvre qui fait que les hôpitaux aujourd'hui ne peuvent pas réaliser la phase 2A de façon complète. Les vagues répétées et la longue phase de plateau, avec tout l'impact d'épuisement et aussi l'absentéisme du personnel rendent extrêmement difficile cette augmentation de la capacité dans les unités de soins intensifs.

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