Réflexions d'un dermatologue sur les effets secondaires des vaccins Covid-19 à moyen et long terme
BRUXELLES, 27/01 – « Dans ma pratique de dermatologue, je constate depuis 2021 beaucoup plus d'herpès zoster par mois qu'auparavant. Dans certains cas, ceux-ci s’avèrent plutôt résistants aux traitements et entraînent des complications, » écrit Marc Boone, dermatologue (MD) et docteur en sciences médicales. Le professeur Boone analyse également l'impact du variant omicron en termes de contaminations et d'hospitalisations chez les personnes vaccinées et non vaccinées.
D'après les rapports hebdomadaires de Sciensano sur la pandémie de Covid-191, il est clair que tant que le variant delta était dominant, les vaccins systémiques (IgG) réduisaient considérablement la charge des unités de soins intensifs. Malheureusement, ce ne sont pas des vaccins muqueux (IgA) et le risque de contamination reste donc réel. Le virus peut continuer à circuler avec le risque de voir des mutations conduisant à un nouveau ‘variant préoccupant' tel que le variant omicron. Depuis le début de l'année, la part que représente omicron dépasse largement les 90%.
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