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Il y aurait un risque accru de dépression du post-partum avec des antécédents d’endocrinopathie

En raison d’une sensibilité supplémentaire aux fluctuations hormonales avant et après l’accouchement, rappelle The British Journal of Psychiatry, certaines femmes présentent « un risque accru de dépression du post-partum » (DPP). Cette situation concerne notamment des femmes atteintes d’une maladie endocrinienne, avec une moindre capacité d’auto-régulation du rétrocontrôle hormonal.

Et vice versa

 

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