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Faut-il mesurer le taux d'irisine sérique pour prédire le risque de chute chez les femmes ménopausées ?

L'irisine joue un rôle dans la diaphonie os-muscle, mais la relation entre son taux sérique et la microarchitecture osseuse reste inconnue. D’après cette nouvelle étude, les femmes ménopausées dont le taux sérique d'irisine est plus faible aurait un risque de chute plus élevé, une force musculaire plus faible et une porosité corticale plus élevée.

La ménopause est associée à une diminution de la densité minérale osseuse (DMO), à une détérioration de la structure osseuse, ainsi qu'à une sarcopénie due à la diminution de la masse musculaire et à la dégénérescence de la fonction musculaire. L'ostéoporose et la sarcopénie sont étroitement liées à la fréquence croissante des chutes et des fractures. L'irisine est une myokine dérivée de la protéine 5 (FNDC5). Elle joue un rôle dans les muscles, les tissus adipeux et les os.

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