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Covid-19 - Davantage d'humanité lors des visites à l'hôpital et maison de repos, plaident 12 organismes

BRUXELLES 07/03 Alors qu'une éclaircie s'installe dans un ciel embrumé depuis deux ans par la crise du coronavirus, les personnes hospitalisées ou résidant en maison de repos et leurs familles continuent de jongler avec des mesures restrictives strictes et des règles variables entre institutions, dénoncent lundi 12 organismes.

La Ligue des familles, la Ligue des droits humains et leurs cosignataires appellent à une approche plus humaine de la question et à un cadre légal uniforme, débattu et voté au parlement. Il y a par exemple ces parents obligés de se relayer auprès d'un enfant malade quand l'hôpital n'accepte qu'un seul accompagnant, ces personnes âgées derrière la vitre de la maison de repos, le téléphone collé à l'oreille pour entendre ce que leurs petits-enfants de moins de 12 ans ont à leur raconter depuis le pas de la porte, puisqu'ils ne peuvent pénétrer dans le bâtiment. Et tous ces autres hospitalisés ou en perte d'autonomie, "en souffrance physique et psychologique auxquelles vient s'ajouter un isolement total ou partiel dû à des conditions de visites très strictes", relèvent le Gang des vieux en colère, le mouvement social des aînés Enéo ou encore l'ASBL Générations, qui défend l'épanouissement des plus jeunes. "Le médecin chef de chaque hôpital peut restreindre les possibilités de visites en fonction de la situation dans et hors de l'hôpital. Les chefs de service ont également la possibilité de fixer des règles différentes pour leur propre service.

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