Congrès  >   EULAR 2021  >  Traitement de la PR en vie réelle: les inhibiteurs de JAK gagnent du terrain… (EULAR 2021)

Traitement de la PR en vie réelle: les inhibiteurs de JAK gagnent du terrain… (EULAR 2021)

27/06 - OPAL, un registre australien en vraie vie, montre que dans ce pays les habitudes de prescription sont en train de changer dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde (PR). En 2020, près de la moitié des patients se sont vus prescrire des inhibiteurs de JAK (iJAK) et le pourcentage de patients qui restent sous iJAK en deuxième ligne s'est accru de 42,6%. Des registres comme ARTIS, le registre suédois ou le registre suisse SCKM-RA confirment cette tendance.

Les rhumatologues australiens ont aujourd'hui à leur disposition 7 DMARDs biologiques et synthétiques ciblés agissant par 5 modes d'action différents. Les b/tsDMARDs sont remboursés par la sécurité sociale pour les patients avec une maladie active après 6 mois de traitement par csDMARD. Face à ce choix multiple, il était intéressant de connaître l'évolution des habitudes de prescriptions suite à l'arrivée en 2015 de la classe des iJAK composée aujourd'hui du tofacitinib, du baricitinib, de l'upadacitinib et du filgotinib. Chaque membre de cette classe possède son propre profil de sélectivité selon son affinité pour les différentes janus kinases 1, 2 ou 3.

Vous désirez lire la suite de cet article ?

Inscrivez-vous gratuitement pour accéder à tous les contenus de Mediquality sur tous vos écrans.

Pour des raisons de sécurité, votre navigateur n'est pas compatible avec notre site

Nous vous conseillons l'utilisation d'un des navigateurs suivants: