MediQuality
Les benzos ne sont ni le problème ni la solution. Ils sont un symptôme (Opinion de Thomas Detombe)
GAND 30/10 - En effet, un somnifère n'est pas un bonbon. Tout comme les 4400 personnes qui ont suivi un programme de sevrage remboursé (De Standaard, 22/10). C'est une bonne chose que ce programme existe. En revanche, il est loin d'être suffisant.
Vivre ou travailler dans des lieux pollués aux particules fines augmente le risque de cancer du sein
Réintégration des malades de longue durée: la FEB dément tout abus
Les médecins sont-ils des patients comme les autres ?
ONCOCOON : structurer les associations actives dans le bien-être des patients oncologiques
Punaises de lits : alerte sur les dangers de l’usage de certains insecticides
L'aspirine à faible dose réduit la graisse du foie et les marqueurs d'inflammation
Épilepsie myoclonique juvénile : une nouvelle stratification à valeur pronostique
L’objectif de cette publication était de proposer une définition evidence-based de l’épilepsie myoclonique juvénile basée sur des critères et symptômes cardinaux de la maladie, ensuite de voir dans quelle mesure les caractéristiques électro-cliniques, les co-morbidités et les réponses thérapeutiques peuvent se corréler avec le pronostic des patients, ce qui n’a jamais été fait auparavant. C’est la cohorte du "Biology of Juvenile Myoclonic Epilepsy (BIOJUME) Consortium" qui a fourni plus de 90...
Troubles obsessionnels compulsifs et épilepsie : la stimulation cérébrale profonde doublement efficace
Abord chirurgical de lésions cérébrales traumatiques : un risque majoré d’épilepsie chez l’enfant
Evaluer et prendre en charge la douleur procédurale chez les nouveau-nés.
Rôle des facteurs de stress sur la douleur chronique chez les adultes.
Covid long : vers une homogénéisation des critères
Un appel à plus de cliniques spécialisées dans les MICI pendant la grossesse
Inscrivez-vous gratuitement
Afin d'accéder à l'info médicale nationale et internationale sur tous vos écrans.
Congrès
PlusPortable et fertilité masculine, en sait-on vraiment plus ?
L’infertilité est le lot d’un couple sur six environ dans le monde. Plus d’une fois sur deux, c’est l’homme qui est en cause, du fait d’une qualité insuffisante du sperme. Au cours des trois dernières décennies, il apparaît que cette dernière a décliné sans cause apparente clairement identifiée, les hypothèses allant bon train sans emporter pour autant la conviction.