Une bonne réponse au dolutégravir après l’échec d’un traitement antirétroviral antérieur
4/01 - Il ressort de cette étude observationnelle à grande échelle qu’il est possible d’obtenir une réponse persistante après initiation d’un traitement à base de dolutégravir chez les personnes porteuses du VIH et ne répondant pas aux traitements antérieurs, y compris les patients vulnérables ayant déjà reçu une thérapie antirétrovirale prolongée, infectés par une souche multirésistante ou porteurs de comorbidités multiples », résument les auteurs de nouvelles recherches réalisées en France.
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