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L’irisine dans la spondylarthrite axiale : marqueur de gravité de la maladie et du risque cardiovasculaire

Plusieurs myokines et adipokines sont impliquées dans la régulation de la réponse immunitaire et dans la pathogenèse de nombreuses maladies inflammatoires chroniques. Parmi elles, l’irisine joue un rôle dans l’angiogenèse, le stress oxydatif, le dysfonctionnement des cellules endothéliales et le métabolisme des lipides ainsi que dans le processus inflammatoire.

Un faible taux d'irisine pourrait être un biomarqueur d'athérosclérose subclinique et de risque CV élevé dans l'axSp.

Il existe une corrélation négative avec l'échelle visuelle analogique de la douleur établie par le patient (p = 0,003) et le médecin (p < 0,001), avec le BASMI (Bath Ankylosing Spondylitis Metrology Index) (p= 0,002), et la présence d'une sacro-iliite (p < 0,001). Par ailleurs, de plus faibles taux étaient observés chez les patients non HLA-B27 (p = 0,006), un sous-groupe décrit comme ayant une activité plus élevée de la maladie. 

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