Les paraphilies, des fantasmes sexuels pas si rares
12/09 - Le nombre de fantasmes sexuels est en moyenne plus élevé chez les hommes que chez les femmes. Une tendance associée à un recours plus souvent addictif à la pornographie, éventuel prélude à des comportements sexuels violents, révèle une étude britannique publiée dans l'International Journal of Offender Therapy and Comparative Criminology.
C'est un phénomène mis en évidence par plusieurs travaux (1) : beaucoup de fantasmes considérés comme atypiques ne le sont pas tant que cela. Parmi eux, les paraphilies, que le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) classe en huit catégories : exhibitionnisme, fétichisme, frotteurisme, pédophilie, masochisme sexuel, sadisme sexuel, voyeurisme, transvestisme. Sans oublier les « paraphilies non spécifiées par ailleurs », dont la zoophilie ou la nécrophilie.
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