VNI à domicile : la vigilance s’impose pour certains patients
Suite à une hospitalisation liée à une exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), la ventilation non invasive (VNI) à domicile a été associée à un moindre risque de décès et de nouvelle hospitalisation. Des bénéfices pas toujours évidents chez certains patients, suggère une étude publiée dans la revue BMJ Open Respiratory Research.
Publiée en 2017, l'étude britannique HOT-HMV a démontré l'intérêt de la VNI à domicile, après sortie de l'hôpital, chez les patients ayant enduré une exacerbation de leur BPCO, en plus d'une oxygénothérapie (1). Par rapport aux patients du groupe contrôle, mis uniquement sous oxygénothérapie, le risque d'exacerbation était réduit de 34% à un an, celui de décès ou de nouvelle hospitalisation de 51%.
Vous désirez lire la suite de cet article ?
Inscrivez-vous